La musique peut être un univers qui peut nous être accessible, mais à notre manière.
Dans les années 85, il y avait des clips vidéos comme le top 50 que j’aimais beaucoup uniquement parce qu’il y avait un classement, cela me permettait de me donner un indice de « popularité » sans avoir à demander autour de moi.
Avoir le son et l’image en même temps c’était un vrai régal.
Ces clips vidéos n’étaient pas sous-titrés en 85, ils ne l’ont été qu’à partir de 2005 pour certaines chaînes de télévision.