Le tricot urbain : késako ?

Le tricot urbain, le street art en laine

On connaissait les tags et les murs peints. Désormais, l’art de la rue devra compter avec le tricot urbain. Autrement dit, des graffitis faits de laine plutôt qu’avec de la peinture à la bombe. Concrètement, il s’agit d’habiller portes, statues, lampadaires et autres équipements citadins d’écharpes ou collerettes. En maille donc.

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2 réflexions sur « Le tricot urbain : késako ? »

  1. Quelle découverte! Sympa! Mais on les récupère ou on les laisse… Sitôt « volés » c’est moins drôle…Tandis que les tags à la bombe c’est super dur à enlever.

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